M’offres-tu un café?

Au revoir Monsieur Marquis

La mort traînassait avant de s'amener le cueillir.  Il y'a quelque temps, elle l'avait accosté une première fois.  À cette époque, elle avait trouvé bon de le laisser vivre.  Elle était résolue à lui laisser un sursis. Il n'était pas encore à point.
Par la suite, à nouveau elle est revenue le titiller. Généreusement, d'ailleurs.  Cette fois-ci, elle lui en imposé de la souffrance et lui a promis qu'elle le guetterait jusqu'à ce qu'il veuille s'accoler à elle.  C'est ce qu'il fit le jeudi 2 avril en fin de soirée. Elle a compris qu'il était mûr à grappiller.

Au revoir Monsieur Marquis.

De la petite voisine d'à côté

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